ESSAIE D’UNITÉ ET DU DÉVELOPPEMENT DE LA RDC ,Une réflexion libre.

De plus en plus, nous voulons tous d’un Congo uni et développé, d’un Congo meilleurs et protecteur des droits des uns des autres.Un tel vœu n’est jamais sans nécessiter un minimum d’intelligence politique, pour a la fois mieux comprendre les enjeux et saisir les opportunités.

Raison pour laquelle, en tant que fils de ce pays, je voudrais et cela sans ambiguïtés, essayer de retracer une certaine histoire ou évolution du leadership politique congolais depuis son accession à l’indépendance en 1960. Mais il y a tout d’abord lieu de dire touchait que nous sommes, contrairement à ce que certains compatriotes aveuglés par l’ignorance et le fanatisme politique,incapables de s’affranchir, sur une bonne voie.

Que le Congo doit continuer sur vrai élan de démocratie et de souveraineté déjà mis en place par nos pères que sont Patrice LUMUMBA et Joseph KASAVUBU, consolidé par Laurent Désiré kabila, concrétisé par Joseph Kabila en tant que premier a pouvoir unifier véritablement et efficacement le pays et à pouvoir organiser les premières élections libres et transparentes, et aujourd’hui aménagé et conservé par l’actuel président, je cite son excellence Félix Antoine Tshilombo Tshisekedi, au pouvoir depuis 24 janvier 2019.

C’est donc le même esprit lumumbiste qui doit nous animer tous , le même esprit d’indépendance et de liberté nationale; ce qui veut dire que malgré vos rivalités et oppositions politiques parfois insensées à tous les égards, l’intérêt général de la nation, tel qu’il concerne principalement notre souveraineté et notre indépendance sur toutes dimensions à savoir culturelle, économique, et politique, doit être une valeur fondamentale, c’est à dire sacrée.

Voilà pourquoi en ce mois de juin, mois de notre accession à l’indépendance, il est temps nous interpeller sur certaines maladresses caractérisant de plus en plus nos discours depuis peu. Tout le monde devait savoir ceci: est irrationnelle toute tentative de sabotage de la coalition FCC-CASH, car c’est stabilité et unité qui en dépend.

Nous pouvons citer juste deux cas: remettre par exemple en question la majorité parlementaire actuelle c’est ne même temps remettre en question la légitimité du chef de l’état actuel en tant qu’élu suprême de la même majorité populaire qui à massivement choisi de se représenter à travers ses élus au parlement dont la majorité fait parti du FCC. Ce qui revient à dire qu’un membre de l’UDPS plein de bon sens politique ne peut, quoi qu’il en soit, tenir un discours qui soit défavorable à la coalition, sinon nous parlerons de l’immaturité politique.

Il est donc insensé de parler, comme nous l’entendons chez certains hauts cadres politiques de l’udps, d’une majorité qui serait artificielle, qui concernerait le parlement, et d’une majorité réelle, qui concernerait les quelques foules des citoyens intoxiquées pour semer le désordre par-ci par-là, dans le but d’empêcher les élus de réaliser leur mission. En acceptant et en se pliant à la volonté populaire qui, à travers le suffrage universel, l’a désigner président de la république, l’UDPS a en même temps reconnu la légitimité réelle de la majorité parlementaire telle qu’elle est également le reflet de la même volonté populaire qui à porter son choix sur leur candidat pour en faire son président.

Ne tombons pas non plus dans le piège de l’honorable Martin Fayulu, leader de Lamuka qui, tout en ne reconnaissant pas l’efficacité et la crédibilité de la machine à voter, a finit par grandir un certaine victoire qui aurait été le fruit de la même machine, ce qui est une incohérence et contradiction en politique aussi grave pour un décideur politique.

Pour terminer je voudrais que ceux qui le souhaitent puisse prendre en compte cette image: en fait, le Congo est comme un arbre dont les racines sont Lumumba et Kasavu, le tronc est Kabila Laurent, dans cet arbre il y a 3 branches dont les branches KABILA1,kabila 2,le père de la démocratie et de l’alternance, Félix Tshisekedi notre actuel président le fils de Tshisekedi Wamilumba constitue la 3eme branche qui dérive du tronc.

Le président est entrain de poursuivre la même œuvre démocratique pour laquelle sont allés jusqu’à donner de leur vies nos pères fondateurs et héros nationaux. Or l’arbre ne survit pas sans tronc, tout comme il ne peut survivre sans racines; nous sommes donc appeler a être prudent et nous devons savoir que notre président de la république n’est pas un oiseau sur un arbre mais plus une branche sur le même arbre.