
Si la rentabilité d’une affaire se définit en terme de pertes et profits, combien avons-nous investi dans cette affaire de recherches d’investisseurs et combien avons-nous gagné ? Il y a lieu de rappeler ici qu’il s’agit de l’argent du contribuable congolais.Au delà même de cet argent que le pays perd sans retour, il faut ajouter un manque de programmation et de vision dans la conduite des affaires de l’État, que le peuple se doit de sanctionner en 2023. Tous les indicateurs sont au rouge et le peuple est lui-même témoin de sa souffrance.
Le changement, c’est maintenant, juste à l’échéance de leur mandat
C’est le cas de le dire. Pas un jour de plus dans cet enfer où nous vivons. Un mandat, c’est 5 ans, soit 1825 jours. La souffrance du peuple a déjà atteint un niveau effroyable. D’ailleurs, eux-mêmes sont déjà entrés en campagne, une manière de nous faire comprendre leur cuisant échec pour ce mandat. Ont-ils un argument devant la dégringolade de la situation socio-économique de notre pays?
La mort programmée de l’UDPS après le 23 janvier 2024
Il ne peut y être autrement. C’est un parti qui a perdu tout crédit devant les congolais qui ont découvert leur véritable face. Besoin de préserver nos pneus, la loi n’a pas prévu la crevaison de nos pneus par les cadres des partis politiques. Besoin de récupérer notre quiétude après cette date. Ceci n’est qu’un chat parmi les animaux, un cas parmi tant d’autres. Il est temps que les congolais mutualisent leurs forces
La possibilité d’un candidat unique contre ceux qui sont entrés en campagne prématurément devrait faire son chemin dans nos esprits. FCC – LAMUKA – ENSEMBLE – UNC – SOCIÉTÉ CIVILE, c’est bientôt 2022, l’année où doit se définir les enjeux électoraux pour 2023.
L’heure de se concentrer sur l’essentiel a sonné. Nous devons délivrer notre peuple et permettre au citoyen MBOSO de vivre sa retraite dorée. L’appel est lancé
Papy TAMBA