
Dans une correspondance de la cellule de communication de l’EPST, la grève décrétée par les syndicats catholiques est qualifiée de « grève de trop, illégale et infondée ».
La même source précise qu’elle est décrétée sans respecter la procédure, ni préavis au moment où les discussions se poursuivent dans la commission paritaire.
En toile de fond, elle signifie que « Tout enseignant du réseau catholique qui obéit au diktat de la grève illégalement infondée, sera considéré comme déserteur et son salaire désactivé puis remplacé par les Nouvelles Unités, ou les Nouvelles recrues. Le SECOPE est déjà instruit »
« L’Etat doit prendre ses responsabilités pour récupérer ses écoles et les gérer directement. A l’EPST, le salaire appartient à l’école et non à l’enseignant », conclut le communiqué.
La rédaction