
Je sais très bien que ce n’est pas facile de broder sur ce concept difficile si on a pas un vrai coatching à ces côtés Kiekie Kiekie Kiekie il y’a sûrement un problème des concepts écologiques qui posent problème avec beaucoup d’acuités dans la communication de monsieur Muyaya.
chers frères, il nous faut de l’expertise dans ce domaine sinon c’est une honte pour la RDC quand j’ai suivi la manière profane que Muyaya a pu aborder la question sans expertise oubliant qu’il était non seulement suivi par les congolais mais au niveau international.
En effet, comme ecologue, il y a une différence entre les mesures d’adaptation et les mesures d’atténuation, il parle d’un immense massif, on ne sait pas si c’est quoi au juste? il ajoute le cobalt, ça devient du tohu-bohu, je voulais juste dire à monsieur Muyaya d’être enseigné sur ce domaine le plus difficile et revoir les spécialistes sur la superposition des carrés miniers dans les parcs qui sont des réserves intégrales donc non altérés, le code minier trouve comme ennemi numéro un ou menaces les mines en dehors de l’agriculture sur brûlis et pressions humaines.
Voilà, en termes de pression, une idée était venue à notre époque avec le zonage pour permettre à impliquer les riverains ou la population locale à conserver ensemble les aires protégées.
L’aspect des mesures d’adaptation face au changement climatique n’est pas encore prises en RD-Congo, cette question semble être difficile, la conscience n’est pas encore au rendez-vous par rapport aux pays scandinaves, il faut adapter nos villes et villages sur le Plan écologique, je comprend mieux l’erreur de muyaya qui confond aux mesures d’atténuation avec les forêts D’Afrique centrale( il faut lire l’ouvrage de Jean Pierre Weghe sur les forêts d’Afrique centrale, la nature et l’homme), si on essaie de bien lire, le ministre Muyaya pourrait avoir une mise en bouche avec des éléments de langage pour mieux intervenir à l’international avec des termes purement scientifiques, il appèlera en ce moment-là le massif forestier du bassin du Congo, en principe on devrait dire clairement le massif du bassin du fleuve Congo( un concept original), un autre débat qui pourrait être lancé dans un avenir non lointain.
Cher frère Muyaya, notre ministre de la communication, étant ecologue et écologiste, je vous interdis prochainement d’éviter de confondre le réchauffement climatique au changement climatique!
Le réchauffement climatique est un phénomène social, cette augmentation d’une grande quantité de chaleur dans l’atmosphère qui chauffe la terre et les mers quand cela est perceptible à l’œil nu ou par les organes de perception et cela modifie le climat, on parle du changement climatique donc les conférences des parties que vous appelez cop26 ou cop25 jusqu’à cop16 parlent plus du changement climatique, comment les nations vont arriver à faire face au dérèglement climatique,voilà pourquoi la RDC a été invitée si on ne comprends jamais cette problématique d’efforts face au changement climatique?
On risque plus de s’éparpiller et devenir ridicule comme c’est le cas, la convention des nations unies sur les changements climatiques est claire quant à ce. Comment la RDC s’y prend dans le cadre de la préservation des écosystèmes et de la biodiversité?
Et cela devrait apparaître dans la lettre de politique du gouvernement avec même des chiffres pour être pris au sérieux par des instruments internationaux mais prochainement je vous dire pourquoi la RDC n’arrive pas à réussir dans ce domaine,comme ancien négociateur de nos forêts. napesi na ngai kaka conseil sans aborder d’autres qu’est politique.
India Omari