
« Considérée comme une partie essentielle et représentative de l’identité du peuple congolais et de ses populations de la diaspora, cette empreinte musicale permet de transmettre les valeurs sociales et culturelles de la RDC, tout en promouvant la cohésion sociale, intergénérationnelle et solidaire », peut-on déduire via le site de l’Organisation des Nations-Unies pour l’Education, la Science et la Culture (UNESCO).
Il faut le rappeler que cette inscription de la Rumba congolaise, candidature qui a été portée par les deux Congos, respectivement La RD-Congo et la République du Congo, succède à la Rumba cubaine, inscrite en 2016 et pour le compte de l’Afrique centrale, les polyphonies pygmées de Centrafrique (2003) ou les tambours du Burundi (2014).
C’est une grande fierté pour tous les pionniers de la Rumba de deux rives du fleuve Congo, notamment Papa Wemba, Grand Kallé, Wendo, Tabu Ley Rochereau, Franklin Boukaka et tant d’autres ayant fait la pluie et le beau temps de cette identité propre aux valeurs culturelles congolaises.
Masand Mafuta