Tout était prévisible après sa décision au poste de premier vice-président de la chambre basse du Parlement, l’inamovible Jean-Marc a été mal convoité au sein du parti présidentiel Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS) dont il assumait encore la fonction du Président ad intérim.
Ça ne reste que d’observer une telle décision pour que ce feuilleton touche ainsi à sa fin. Ainsi dit, La Commission Nationale de Discipline de l’UDPS vient de démettre celui qu’on appelle maître nageur et bras droit du chef de l’État, de ses fonctions du Président ai et le radier définitivement du parti. Telle est la décision prise ce samedi 29 janvier par cette commission au Quartier Général de ce parti.
« Nous trouvons en lui un véritable délinquant politique et un récidiviste avéré et non un homme d’État, et encore moins un haut cadre du parti qui prône les valeurs comme UDPS/Tshisekedi. Ce comportement a violé l’article 2 du code d’éthique des membres du parti, l’article 10 alinéa 5 et l’article 65 alinéas 3 et 5 des statuts du parti », a déclaré cette commission.
Lors de la prise de cette décision de ladite commission, plusieurs cadres de l’UDPS ont dénoté de leur présence, notamment des députés nationaux, provinciaux, ministres, hauts dignitaires et membres effectifs du parti.
Tout reste savoir si Jean-Marc Kabund sortira de son trou pour une réaction musclée face à une telle décision qui le cloue sans précédent.
Il faut le rappeler que, depuis l’annonce de sa démission du poste du premier vice-président de l’Assemblée nationale via son compte Twitter, l’homme de Kingabwa a toujours adopté le profil bas et n’a fourni aucune explication justificative quant à ladite décision qui a connu un parent pauvre au sein de son parti.
L’avenir nous en dira plus !!!
La rédaction
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