Le président de la Tanzanie, John Magufuli est décédé ce mercredi 17 mars 2021, à l’âge de 61 ans suite aux problèmes cardiaques.
« C’est avec grand regret que je vous informe qu’aujourd’hui, le 17 mars 2021, à 18 h, nous avons perdu notre courageux leader, le président de la Tanzanie, John Pombe Magufuli », a déclaré à la télévision de l’État, la vice-présidente, Samia Suhulu Hassan.
Elle a précisé que le président est décédé à l’hôpital Emilio Mzena, un établissement gouvernemental de Dar es Salaam où il était soigné.
Il faut rappeler que John Magufuli est arrivé au pouvoir en 2015.
Dans un communiqué de presse publié ce mercredi 17 mars 2021, la cellule de communication du gouverneur de Kinshasa, Gentiny Ngobila Mbaka tient à informer le public que le couvre-feu décrété par le chef de l’État, Félix Tshisekedi contre la pandémie à Coronavirus n’est pas levé dans sa juridiction.
« La coordination de la cellule de presse et communication du Gouverneur rappelle que la mesure de couvre feu dans l’ensemble du pays suite la situation épidémiologique dû à la covid 19, a été une décision du président de la République, chef de l »État Félix Antoine Tshisekedi, seul ayant les prérogatives de la levée du dit couvre feu », écrit la coordinatrice Belise Okonda.
En outre, l’hôtel de ville demande à toute la population de Kinshasa de continuer à observer scrupuleusement la décision prise par le président de la République.
Il faut signaler que depuis quelques heures un document attribué au gouverneur Gentiny Ngobila circule dans les réseaux sociaux annonçant la levée de couvre-feu à Kinshasa.
Les plusieurs personnes ont été blessées ce mardi 16 mars 2021, lors d’un accrochage qui a eu lieu dans la cité de Lubao, située à plus ou moins 200 Km de la ville de Kabinda dans la province de Lomami.
Selon des sources locales contactées cet après-midi, une vive tension a été observée entre les étudiants de l’Université Mzée Laurent Désiré Kabila et les élèves de l’institut Ngongo que dirige le préfet Théodore Nkongolo Nsamba.
À la base, un étudiant de cette institution supérieure est passé à tabac par les élèves du temps qu’ils chantaient l’hymne national.
Alertés de la frappe de leur collègue, les étudiants de trois universités [ ISTM/Lubao, l’université Laurent Kabila et de l’ ISPT de Tshofa en délocalisation à Lubao) se sont mobilisés en seul homme pour venir en aide ou secourir leur collègue.
« La maison du préfet complètement endommagée et l’un des bâtiments de l’institut Ngongo de 2 salles incendié. Le groupe d’étudiant en colère est revenu cet après-midi pour tenter d’incendier le 2er bâtiment de cette école mais empêché par la police venue en intervention rapide », explique un journaliste basé dans la région.
Il faut signaler qu’aux dernières nouvelles, la résidence du préfet et le bâtiment scolaire sont gardés par les éléments de la PNC et le calme serait revenu.
Les juges de la Cour Pénale Internationale (CPI), en séance plénière, ont élu ce jeudi 11 mars 2021 le juge Piotr Hofmański à la présidence de la Cour pour un mandat de trois ans avec effet immédiat.Le juge Luz del Carmen Ibáñez Carranza a été élu premier vice-président et le juge congolais, Antoine Kesia-Mbe Mindua deuxième vice-président.
« Je suis reconnaissant à mes collègues juges de m’avoir confié une responsabilité aussi importante. Tout en étant conscient de la gravité des défis à venir, je suis pleinement attaché à la tâche », a déclaré le deuxième vice-président nouvellement élu Mindua.
Il faut signaler que la présidence qui est composée du président et des deux vice-présidents joue un rôle clé en assurant le leadership stratégique de la CPI dans son ensemble.
En raison des restrictions de la Covid-19, l’élection a eu lieu à distance.
Le Premier ministre ivoirien Hamed Bakayoko a passé de vie à trépas, ce mercredi 10 mars 2021,en Allemagne de suite d’un cancer.Cette nouvelle a été annoncée par le Gouvernement que le Premier Ministre ivoirien est décédé à l’âge de 56 ans.
« Notre pays est en deuil. J’ai l’immense douleur de vous annoncer le décès du Premier Ministre, Hamed Bakayoko, chef du Gouvernement, Ministre de la Défense, ce mercredi 10 mars 2021, en Allemagne, de suite d’un cancer » a annoncé le gouvernement.
Notre rédaction présente ses sincères condoléances les plus attristées à tout le peuple ivoirien disséminés à travers le globe. La mort n’est rien, mourir sans gloire c’est mourir chaque jour, disait le Général Français Napoléon Bonaparte.
Masand Mafuta
Que la terre des ancêtres lui soit douce et légère.
Deux personnes sont décédées, depuis dimanche 7 mars 2021 à 11 heures précises par noyade dans la rivière Vunayi dans le territoire de Kabinda en province de Lomami.
Selon les membres de la famille et les témoins qui livre cette information ce mercredi 10 mars 2021, Mutombo Wemba et son compagnon Ngoy Nestor voulaient traverser la rivière et, ont trébuché sur les planches placées sur la passerelle avant de se retrouver dans l’eau.
Après pratiquement deux jours d’intenses recherches par les villageois des localités voisines, les deux corps sans vie ont été retrouvés tard dans la soirée de ce mardi 10 mars 2021.
« C’est aujourd’hui en principe que ces corps inanimés ont été enterrés par les habitants et les familles des victimes », indique la croix rouge de la contrée.
Le soulagement aura été de courte durée. Vivement critiqué pour sa stratégie d’acquisition des vaccins, jugée trop lente, le gouvernement sud-africain accueillait, lundi 1er février, le premier million de doses AstraZeneca en grande pompe sur le tarmac de l’aéroport de Johannesburg. Attendues avec impatience dans les hôpitaux, où elles devaient être administrées au personnel soignant une fois validée la qualité des lots, elles resteront finalement dans les entrepôts.
Moins d’une semaine après l’arrivée des vaccins, le ministère de la santé a annoncé, dimanche 7 février, la suspension de leur déploiement. En cause : son manque d’efficacité face au variant qui domine les infections dans le pays, d’après les résultats préliminaires d’un essai clinique. « Nous sommes prêts pour la vaccination, mais nous pensons que nous avons besoin de plus d’informations (…) afin de déterminer comment déployer efficacement les vaccins AstraZeneca », précise le ministre de la santé, Zweli Mkhize.
Bousculé par la fuite, dans le Financial Times, des résultats de l’étude AstraZeneca menée en Afrique du Sud, le gouvernement a opté pour la prudence. Mené depuis fin juin 2020, l’essai dirigé par le professeur Shabir Madhi montre que le vaccin développé par AstraZeneca « ne protège pas efficacement contre les infections du Covid-19 légères à modérées causées par le variant B.1.351 ». Ce faisant, il soulève surtout l’urgence de répondre à une inconnue : quelle sera l’efficacité du vaccin face aux infections sévères nécessitant une hospitalisation ?
C’est cette question en suspens qui pousse le gouvernement à mettre en pause le déploiement des vaccins AstraZeneca. D’une ampleur modeste, l’étude clinique menée en Afrique du Sud ne compte que 2 000 participants environ, relativement jeunes (l’âge médian est de 31 ans) et en bonne santé (peu de participants présentent des facteurs de risque comme le diabète ou l’hypertension), ce qui interdit toute conclusion statistique sur l’efficacité du vaccin contre les formes sévères de Covid-19.
Retour à la « réalité »
Jusqu’au 31 octobre 2020, l’essai montrait des résultats encourageants, avec une efficacité estimée à 75 % contre les formes légères et modérées. Les statistiques se sont effondrées face à la propagation du variant 501Y.V2, également appelé B.1.351, découvert fin novembre 2020 par des chercheurs sud-africains. D’après les calculs du professeur Salim Abdool Karim, à la tête du comité de conseil ministériel sud-africain sur le Covid-19, la capacité du vaccin AstraZeneca à prévenir les formes légères et modérées de la maladie tombe à 22 % face à ce variant. Bien loin des 60 % nécessaires pour juger le vaccin « efficace ».
Pour le professeur Madhi, chargé de l’étude, « ces résultats nous ramènent à la réalité après une période d’euphorie suscitée par les premières données qui indiquaient une efficacité des vaccins contre le Covid-19 de 95 % ». Face aux variants rencontrés depuis la fin de l’année 2020 et compte tenu des prochaines mutations susceptibles d’émerger, il estime qu’« il est temps, malheureusement, de recalibrer nos attentes en termes de vaccins ». En d’autres termes, « le Covid-19 a de grandes chances de nous accompagner tout au long de nos vies », dit-il.
Pour autant, le professeur Madhi s’efforce de rester optimiste au sujet des doses AstraZeneca. Il souligne que les résultats d’un essai plus large mené sur le vaccin Johnson & Johnson en Afrique du Sud montre une efficacité à prévenir les formes sévères de Covid-19 de 85 % en présence du variant B.1.351. C’est significativement plus que ses performances face aux formes modérées de la maladie (57 % d’efficacité). Il s’attend ainsi à ce que le vaccin AstraZeneca, créé sur le même modèle, se révèle plus efficace à enrayer les formes sévères que les symptômes légers.
Le gouvernement sud-africain espère quant à lui maintenir le déploiement de la vaccination du personnel soignant grâce à l’arrivée de doses Johnson & Johnson et Pfizer-BioNTech dans le mois à venir. Des essais en laboratoire suggèrent que le vaccin Pfizer – au même titre que celui du laboratoire Moderna –, semble conserver l’essentiel de son efficacité contre le variant identifié en Afrique du Sud, mais aucune étude clinique ne permet pour l’instant de confirmer ces résultats. Testé au cours d’un essai en Afrique du Sud en présence du variant, le vaccin Novavax présente, lui, une efficacité de 49 % face aux formes légères et modérées du Covid-19.
Une stratégie en deux temps
Afin d’adapter le plus efficacement possible sa stratégie vaccinale à la présence du variant, l’Afrique du Sud souhaite à l’avenir déployer les différents vaccins disponibles en deux temps. Le gouvernement envisage désormais, dans un premier temps, une distribution à moyenne échelle, associée à de larges essais cliniques permettant d’évaluer l’efficacité des vaccins face aux formes sévères de la maladie. Ensuite seulement, le déploiement devrait être élargi en fonction des performances de chaque vaccin.
Reste qu’une épineuse question se pose désormais quant à l’usage du million de doses AstraZeneca reçues début février. A la descente d’avion, les autorités sud-africaines ont eu une mauvaise surprise : les doses reçues en provenance du Serum Institute of India expirent en avril. Dans la mesure où le vaccin nécessite l’injection de deux doses à plusieurs semaines d’intervalle, elles pourraient être inutilisables en l’absence d’un déploiement rapide.
La perspective semble donner le vertige au professeur Madhi : « Même s’il reste des points d’interrogation sur l’efficacité du vaccin AstraZeneca contre les formes graves de la maladie, voulons-nous prendre le risque de ne pas vacciner les groupes à risques, sachant qu’il n’est pas dangereux mais qu’il pourrait protéger contre ces formes sévères ? Je pense qu’il serait inconsidéré de jeter à la poubelle un million de doses disponibles et potentiellement utiles. »
Le coordonnateur du secrétariat technique de l’Institut National des Recherches Biomédicales(INRB), le Docteur Muyembe Tamfoum a déclaré ce jeudi 12 février, que la courbe épidémiologique en RDC connaît une régression. C’était, lors de l’audience lui accordée par le chef de l’État, Félix Antoine Tshisekedi, que ces révélations ont été faites. Dans la même lignée, Muyembe affirme également que l’évolution des cas est favorable depuis peu.
A en croire des sources rapprochées, le coordonnateur de l’équipe de riposte contre la covid-19, dit avoir présenté par la même occasion, au chef de l’État, quelques propositions sur l’allègement des mesures sanitaires en vigueur, à savoir, la réouverture des écoles et universités.
Rappelons, à cet effet, c’est depuis le mois de décembre que les écoles et universités ont fermé leurs portes sur ordre du Gouvernement central, après la déclaration officielle du Président de la République, en raison de la pandémie.
Félix Tshisekedi devrait en principe, statuer de nouveau dans les prochaines heures sur base du rapport ainsi que les données scientifiques lui présentées par le Docteur Muyembe.
Les leaders démocrates ont déclaré ce vendredi 22 janvier par la voie des ondes, que la réception d’acte d’accusation de Trump est prévue pour ce lundi 25 janvier. Par contre, le processus de destitution enclenché contre le candidat malheureux à la présidentielle de 2020 aux USA aura lieu le 8 février 2021. Ce délai fixé, permettra notamment, au Sénat d’asseoir les membres de la nouvelle administration. Accusait d’incitation à l’insurrection de ses partisans à l’assaut du 6 janvier dernier au capitole, pendant que les parlementaires entérinaient la victoire de son successeur Joe Biden, Donald Trump se verra son sort être scellé.
Malgré que le Président sortant des États-Unis d’Amérique a finalement courbé l’échine, rien n’est encore fini pour lui. Car des nombreuses accusations pèsent encore sur lui. Pour ce faire, Trump sera dans quelques semaines de nouveau sur les projecteurs de l’actualité politique américaine. Son procès en destitution va avoir lieu, le 8 février au Sénat. Ce, après la transmission qui devrait se faire à ce sujet au niveau de la chambre haute sur l’acte de mise en accusation, au tout début de semaine prochaine. Ont annoncé ce vendredi 22 janvier les leaders démocrates au congrès.
Ce moratoire de deux semaines, entre la remise de l’acte d’accusation et l’entame des débats permettra que le procès ne monopolise pas les sessions à la chambre des représentants, pour le mandat de Joe Biden qui vient tout juste de commencer. De ce fait, le Sénat pourrait confirmer la mise en place des nouveaux membres de son gouvernement.
»Une fois les dossiers rédigés, l’exposé par les parties commencera la semaine du 8 février » a déclaré dans la soirée de ce vendredi Chuck Schumer, le chef démocrate du Sénat américain. Lieu où devrait être jugé le milliardaire Trump pour incitation à l’insurrection.
Rappelons que Chuck Schumer avait auparavant précisé devant ses collègues que l’acte d’accusation serait transmis au Sénat lundi prochain.
»Nos procureurs sont prêts à défendre leur dossier devant les 100 sénateurs qui serviront de juges au cours du procès », avait ensuite confirmé la présidente de la chambre des représentants américains et partisane démocrate, Nancy Pelosi dans un communiqué.
Ce sont également ces mêmes procureurs des élus démocrates qui devront apporter au congrès, l’acte de ladite accusation dans l’hémicycle du Sénat. Où, ces derniers, les liront par la suite au Sénateurs.
Cette étape marquera le début l’ouverture formelle du procès mais les débats proprement dits sur le fond ne seront amorcés que dans deux semaines, après le dépôt de la plainte.
Cette fois, même certains des alliés de Donald Trump se sont montrés très critiques à son sujet. Y compris, Mitch McConnell, qui fut l’un de ses plus proches alliés pendant sa présidence, a fait savoir, qu’il n’excluait pas de le juger coupable.
Néanmoins, malgré cela, la constitution américaine impose un seuil de deux tiers du Sénat pour condamner un président. C’est-à-dire, qu’il faudra en principe que 17 Sénateurs républicains se rallient aux 50 démocrates, pour atteindre cette majorité qualifiée. Ce qui, à ce stade est encore loin d’être ainsi.
Notons à cet effet, que si Donald Trump arrivé à être déclaré coupable, il ne serait plus demis de ses fonctions, puisqu’il a déjà quitté la Maison Blanche. Mais par conséquent, il deviendrait inéligible pour briguer un mandat public quelconque. Notamment, celui présidentiel. Alors même qu’il caressait déjà l’idée de se représenter comme candidat à la présidence de la République à l’élection de 2024.
D’après plusieurs bruits médiatiques, en l’occurrence, l’hebdomadaire britannique , les autorités Japonaise ont d’énormes difficultés à maintenir le déroulement des Jeux-Olympiques faces aux réalités sanitaires actuelles. Et, selon certaines indiscrétions, un probable report serait déjà envisagé à cet effet, quoique officiellement le gouvernement nourrit toujours d’illusions l’opinion, en affirmant que cela aurait bel et bien lieu.
Des réactions fusent de partout, désormais sur la tenue ou non du grand rendez-vous sportif mondial réunissant quasiment les athlètes de nombreuses nations issues des différentes disciplines sportives toutes tendances confondues.
Malgré ces affirmations de la presse britannique, sur la possibilité d’annuler cet événement, sous coulisses, le Premier ministre japonais et les organisateurs de jeux olympiques de Tokyo 2020 ont affirmé ce vendredi 22 janvier, de le tenir à cet été.
»Je suis déterminé à accueillir les jeux olympiques sûrs, en signe de victoire de l’humanité sur le nouveau Coronavirus » avait indiqué le chef du gouvernement japonais, Yoshihide Suga lors d’une séance parlementaire.
Le comité organisateur avait notamment fait savoir à travers un communiqué de presse, qu’il était entièrement concentré sur les préparatifs pour accueillir les jeux de l’été, de commun accord avec le gouvernement japonais, la ville de Tokyo , le comité international olympique (CIO) ainsi que le comité international paraolympique(CIP).
Il sied de préciser, que le CIP a infirmé cette nouvelle que véhicule la presse britannique sur l’annulation des Jeux-Olympiques. De ce fait, toutes les parties y travaillent d’arrache-pied pour l’organisation de ces jeux en bonne et due forme.
Par contre, selon le même média, le gouvernement japonais aurait statué en privé que les JO devront être reportés sine die, à cause de la crise sanitaire de la pandémie du Covid-19. Cela, en citant pour preuve une source au sein de la coalition gouvernementale.
»Personne ne veut être le premier à le dire mais tous sont unanimes, que c’est une tâche très difficile à réaliser » déclare The Times.
A cet effet, le président du CIO, Thomas Beach, s’est adressé à la presse de nippone kyodo News après la parution de cet article dudit journal.
Le Japon se concentrerait maintenant sur l’attribution des jeux d’été de 2032 pour accueillir le rendez-vous olympique à Tokyo, souligne le quotidien britannique.
Pour sa part, le ministre japonais Taro Kono avait déjà esquisser un discours en annulation de ces événements sportifs, la semaine dernière. Il a déclaré que cela pouvait être fait d’un côté comme dans l’autre. Ses propos contredisent la position officielle du gouvernement et du comité directeur.
Rappelons que depuis l’existence des Jeux-Olympiques, il y a eu qu’un seul report de 1940 en 1944 dont les activités les événements olympiques ont été supprimés du calendrier pour cause de la guerre mondiale. L’annulation de Tokyo cette année, en serait donc une première. Qui d’ailleurs, serait une perte énorme pour le pays ayant investi plus de 25 milliards de dollars à travers divers préparatifs pour la réussite de ces assises.