UNE TRIBUNE DE MONSIEUR INDIA OMARI RÉPONDANT AUX MESSIEURS :THIERRY MONSENEPWO, FRÉDÉRIC BOLA,CHRISTIAN BOSEMBE ET ALBERT TSHIABA SUR LA LIBERTÉ DE LA PRESSE QUI CRÉE UNE GRANDE POLÉMIQUE ACTUELLEMENT AU SEIN DE NOTRE SOCIÉTÉ EN RÉPUBLIQUE DÉMOCRATIQUE DU CONGO

Mon jeune aimable tshiaba, je vous aime beaucoup mais j’aimerai quand même partager scientifiquement des concepts de la polémologie sans polémique, j’ai suivi religieusement mon jeune frère intelligent monsenepwo Thierry depuis sa transhumance dans votre camp, tu es devenu content de lui, il dit que la Rdc n’est pas en guerre mais il est agressé par le Rwanda, je sais que ce n’est pas un domaine de monsieur Thierry, il était seulement en difficulté à la télévision sur ces concepts des relations internationales, par le monde l’attitude du Rwanda vis à vis de la Rdc s’appelle la guerre d’agression parfois appelée une guerre de conquête en RI, est un conflit militaire qui n’est pas souvent justifié par l’autodéfense et qui a pour objectif l’expansion territoriale et la domination des populations, ce que non seulement le Rwanda est en train de faire, également l’Ouganda dans la région de l’est malgré la résistance de notre armée et nos populations, en principe vis le FAiT.

L’exécutif de notre pays devrait donner le contenu juridique à cette GUERRE D’AGRESSION afin d’orienter un comportement à son peuple comme on a fait en Ukraine d’ailleurs même Poutine pour seulement l’opération spéciale en Ukraine alors que cela est une agression mais il se protège par le droit d’ingérence et pour orienter son peuple, il applique les décrets, en Rdc principalement pour mettre de côté étant donné que le président de la république avait déjà annoncé la guerre d’agression qui nous ait imposé par le Rwanda à la 77 eme assemblée générale des NU, le président de la république devrait prendre une ordonnance présidentielle conformément à l’article 86 et 143 de la constitution en vigueur pour éviter des suspicions que nous sommes en train de vivre entre congolais.

Chef jeune frère pourquoi j’insiste sur l’article 143 de la constitution parce que son dernier alinéa est très clair afin de protéger les droits des citoyens et conformer ces derniers aux devoirs des citoyens pendant la guerre ou en cas d’attaque du territoire national par les forces rwandaises, ou d’évasion comme c’est le cas et ceci conditionne à la mise en place d’une loi, elle peut être organique ou quoi mais elle doit être une loi pour garantir non pas des droits absolus aux citoyens pendant les déroulés de la guerre mais des droits relatifs.

S’agissant de l’article 24 de la constitution qui devient sujet de discussion aujourd’hui malgré que la loi qui devrait fixait les modalités d’exercice de cette liberté pose problème avec beaucoup d’acuité,à son absence les uns veulent confisquer cette liberté de la presse dans une démocratie. Certains juristes par l’absence de la loi qui fixerait les modalités d’exercice de cette liberté pour renforcer la démocratie recourent à un raccordement frauduleux même l’article 188 du décret du 30 juin 1940 portant code pénal,disposant ce qui suit : « sera puni d’une servitude pénale de un à cinq ans,tout congolais ou étranger qui,sans intention de trahison ou d’espionnage, aura porté à la connaissance d’une personne non qualifiée ou du public une information militaire non rendue publique par l’autorité compétente et dont la divulgation est manifestement de nature à nuire à La Défense nationale » rque dit l’article 24 de la constitution: si on réfléchit ensemble ce décret est très vieux et avait était décrété pendant la période dictatoriale pour museler la liberté de la presse, liberté d’information et d’émission par la radio et la télévision, la presse écrite ou tout autre moyen de communication qui sont nécessaires garanties par l’Etat comme droit à l’information mais sous réserve du respect de l’ordre public, des bonnes mœurs et des droits d’autrui, la question que nous sommes en train de se poser scientifiquement malgré l’absence qui fixe l’exercice de cette liberté, est-ce que ces journalistes cités par ci par là ont troublé l’ordre public? Ont entravé les mœurs de notre pays en donnant les FAITS dans les limites de l’exercice de leurs métiers? Est-ce que ces journalistes on aussi entravé les droits d’autrui? J’ai toujours condamné nos parlementaires qui passent leur temps à la recherche des palissades et les invisibles alors que certaines lois importantes qui manquent dans ce pays pour résoudre le problème de notre société qui se veut démocratique, on ne peut pas commencer à recourir aux articles du code pénal conçu dans un contexte dictatorial pour justifier la volonté de nuire dans un processus démocratique si on veut faire avancer notre pays,

En principe le le constituant en voulant donne à la personne le droit à l’information: avec liberté de la presse c’est pour renforcer la démocratie d’ailleurs avec les grandes décisions concertées entre le pouvoir en place et les organes de presses aux états généraux de la presse, la pénalisation des délits de presse était parmi les décisions que le ministre de la communication devrait se battre pour mettre en application dans ce processus. En définitive, ces genres de choses arrivent quand il y’a de l’impréparation, le ministre de la communication a failli à ses missions,la rtnc une chaîne de l’Etat devrait aussi donner à temps l’information pour éviter la confusion au niveau de l’opinion, imaginez-vous quand il y’a pas une information orientée, cela donnerait aux spéculations choses graves, nous sommes aussi dans une guerre de communication même si l’Etat ne veut pas déclaré officiellement nous ne savons pas pourquoi ?si aujourd’hui vous posez la question au ministre de la communication,si il a un plan média ou la politique d’orientation de cette guerre de communication ou les stratégies pour orienter la guerre en faveur de l’Etat congolais, il y en a pas! Vous même, vous êtes en train de créer des confusions sur terrain, si effectivement on aime le Congo, mettons la compétence au centre de nos préoccupations et vous allez voir, il doit y avoir une politique communicationnelle pour mobiliser la population et les acteurs politiques pendant cette guerre d’évasion comme ça se fait en Ukraine, c’est question de mettre en place une politique communicationnelle au lieu de chercher les poux dans les têtes des journalistes, la plupart de congolais aiment leur pays nonobstant nos obédiences politiques, nous devons travailler pour renforcer l’unité nationale et sanctionner les incompétents.

Je conseille à mon jeune frère Christian bosembe d’éviter des insultes quand on a besoin de faire passer un message du laboratoire parce que tu démobilises davantage au lieu de rassembler parce que le moment est dure, le Congo a besoin plus de son unité dans sa diversité d’opinions.

FOOORCE un patriote

Kinshasa : Le journaliste Steve Wembi porté disparu (Communiqué de l’ACPI)

L’Association des Correspondants de la Presse Internationale en République démocratique du Congo (ACPI) exprime ses vives préoccupations après une rafle par des agents présentés comme appartenant à l’Agence Nationale des Renseignements (ANR) lundi soir, visant l’un de ses membres, en l’occurrence Steve Wembi, collaborateur de New – York Times.

Le journaliste a été inquiété dans un hôtel du centre ville, mais reste introuvable jusqu’à présent.Un autre membre de l’ACPI/RDC, Pascal Mulegwa, correspondant de la radio France internationale à Kinshasa (RFI), venu pour s’enquérir de la situation de son confrère, a été interpellé brutalement devant l’hôtel et dépossédé de ses effets personnels.

Les effets du journaliste lui ont été restitués après plus de deux heures de détention dans des conditions inhumaines dans les locaux de l’ANR, situés en face de la Primature.
Une somme importante lui a cependant été soutirée par des agents de l’ANR.L’ACPI / RDC condamne ces actes abusifs envers ses membres et exige des autorités compétentes des enquêtes appropriées afin de localiser le journaliste Steve Wembi porté disparu.

L’organisation reste préoccupée par des menaces et autres pressions exercées sur les correspondants de la Presse Internationale en RDC depuis des mois, en violation des lois de la République et des engagements internationaux. L’ACPI/RDC se tient aux côtés de la famille du confrère Steve Wembi et lui assure de sa proximité.

Fait à Kinshasa, 25/10/2022
Le coordonnateur
KAMANDA WA KAMANDA MUZEMBE.

Kongo-Central : Un nouvel accident survenu sur la route des Matadi

Depuis un temps, la route de Matadi, dans son axe du Kongo-Central, est devenue un cimetière à ciel ouvert où l’on enregistre de perte en vie humaine et des biens qui y sont endommagés. Il ne se passe pas un jour, sans que l’on assiste à des scènes horribles d’accidents.

Un nouvel accident de circulation s’est encore produit, dans la soirée du samedi 15 octobre 2022, dans le tronçon compris entre Kwilungongo et Nkolofuma, sur la route de Matadi, dans la province du Kongo-Central.
De nos sources dignes de foi, deux camions se sont heurtés, plus spécifiquement 1 remorque et un camion benne.

En version des faits, le chauffeur de la remorque blanche a eu le bras et la main gauche sectionnés. Il est toujours en vie et il a été acheminé à l’hôpital, le plus approximatif du lieu du drame.

Un autre blessé grave dudit accident a été emmené à l’hôpital de Mbanzu-Ngungu, sans compter les biens endommagés. De telles scènes sont à éviter, si seulement si les chauffeurs conduisent avec beaucoup de prudence et responsabilité.

Le gouvernement provincial a récemment pris l’option de mettre en oeuvre des mécanismes pouvant aider à éradiquer les phénomènes des accidents sur la route de Matadi. Tout reste à définir si ces actions auront un impact visible sur terrain, pour ne plus assister à de telles scènes horribles.

La rédaction

Pius ROMAIN victime collatérale d’un conflit opposant son ancienne compagne (voir photo) avec un collègue belliqueux

C’est la seule chose à comprendre dans la photo en circulation, dans le but de nuire à un monsieur dont la conviction politique et la manière de résister à l’actuel pouvoir dérange !
Tout a commencé par une affaire montée contre son oncle qui l’aurait exclu de la famille. Son péché, c’est le refus de soutenir l’actuel pouvoir…

Tout récemment, il a été interpellé pour des faits prétendument commis en 2021.
Aujourd’hui, on lui oppose un problème d’intimité qui remonte à plus de 8 ans, alors que lui et la mère de sa fille ont déjà changé leurs vies.

Qui peut jeter à Pius ROMAIN la première pierre ?

Surpris de voir que cette non-affaire intéresse beaucoup plus des gens à la morale douteuse et qui défendent des actes ecobistes de leurs chefs. C’est l’hôpital qui se moque de la charité.

Qu’on laisse Pius ROMAIN tranquille. Cette photo ne le présente pas dans une histoire ecobiste. C’est avec sa compagne avec qui ils se sont séparés depuis plus de 4 ans après 13 ans de vie commune. En plus de cela, cela n’a pas été publié contre lui, mais plutôt contre son ex compagne dont un de ses collègues pris en flagrant de lit de vole des matériels informatiques de la SNEL.

Pour chantage à ne pas le dénoncer, l’infortuné balancer ces images dans le but de faire taire l’ancienne compagne de Pius. Vous ne trouverez jamais Pius Romain Rolland dans les déboires. Enfin, cette photo n’a pas été trouvée sur lui.

Circulez, il n’y a rien à voir. Bon boulot Pius ROMAIN
L’archange Papy TAMBA,
Le Papy le plus célèbre de la RDC

Le Caporal Murumba a tiré sa révérence

C’est à l’hôpital de référence du Camp Lieutenant Colonel Kokolo de Kinshasa que l’inoubliable artiste humoriste Joseph Nsita Tombe, dit Caporal Murumba, a rendu l’âme suite à une maladie. 

Cette triste nouvelle a été  livrée par Chaka Kongo, président de l’Asbl Artiste en Danger, et nous relayée par factuel.cd. Le confrère nous renseigne que le défunt Joseph Nsita Tombe compte faire un comeback dans l’humour ici au pays après avoir passé 34 années en Côte d’Ivoire, à Abidjan. Dont son retour  en décembre 2020.

Le Caporal Murumba a distillé la bonne humeur sur les antennes de l’OZRT, aujourd’hui la RTNC, d’il y a une trentaine d’années; des années qu’il a passé au pays d’houphouet Boigny  et de Watara. Le dernier de l’ensemble du trio nous quitte à quelques jours de l’ensevelissement de Kuedi Mayimputu. Ces compaires nous ont quittés bien loin de leur patrie, à savoir: le commandant Danga et Abura Ngando. 
Ce trio Dasufa était plus ancré dans la comédie musicale, pour la petite histoire, et restera gravé dans la mémoire collective de la Nation culturelle qui est la République démocratique du Congo.  

Sur scène, le caporal Murumba avait une présence irrévocable avec un jeu très soutenu sans cassure et une musique sans fausse note. Oui! Il s’en allé, ce brave, ce monsieur de la culture, cet ambassadeur de la République ! Militaire, artistiquement vécu, le caporal Murumba nous quitte dans un hôpital militaire.
Bravo, l’artiste !

Junior NZEZA

Kinshasa : ALBERT MOLEKA ancien Directeur de cabinet d’ETIENNE TSHISEKEDI a rendu visite à JIMMY KITENGE MANGANDA

Le dimanche 28 août dernier, Albert Moleka s’est rendu à la prison centrale de Makala, située dans la commune de Selembao à Kinshasa, où il exerce, depuis 28 ans, ses activités « d’aumônier des prisons ».

« JIMMY KITENGE A BESOIN DE SOINS »
A Makala, Moleka a visité notamment Jimmy Kitenge. Secrétaire national chargé de la Communication du parti kabiliste, le PPRD, « Jimmy » se trouve, depuis le 10 août, en « détention préventive » dans cet établissement carcéral du chef de « propagation de fausses rumeurs ». Il a été interpellé, le 26 juillet, par des agents de l’Agence nationale de renseignements (ANR).

Au motif qu’il aurait déclaré – dans un des médias diffusés sur YouTube – qu’un « complot » serait en gestation contre la personne de la dame Marie-Olive Lembe di Sita, épouse Kabila.Le communicant du PPRD a passé une quinzaine de jours de « garde à vue » à l’ANR. Des voix se sont élevées pour vitupérer contre ce fait constitutif de « violation » du quatrième alinéa de l’article 18 de la Constitution qui stipule que « la garde à vue ne peut excéder quarante-huit heures ».

Depuis la nuit des temps, les « services » ont tendance à s’exonérer de cette obligation en invoquant le caractère exceptionnel des questions touchant à « la sécurité nationale ».
Lors de cette rencontre, l’aumônier Moleka dit avoir entendu Kitenge se plaindre notamment de mal de tête et de vertiges. « Quand je l’ai regardé, raconte Moleka, je me suis rappelé un épisode vécu en 2012 lorsque l’administrateur général de l’ANR d’alors, Kalev Mutond, m’avait contacté pour que j’aille récupérer Jacquemin Shabani, alors secrétaire général de l’UDPS ».

Moleka de poursuivre : « Le regard que j’avais perçu chez Jimmy est le même que celui que j’avais remarqué chez Jacquemin. C’est la situation d’une personne qui sort d’une torture extrême ». Pour avoir le cœur net, Moleka dit avoir demandé à Kitenge s’il avait été torturé. Réponse : « Il dit avoir été battu à l’aide d’une matraque à l’ANR. Ses bras portaient des blessures qui se sont cicatrisées ». Pour l’aumônier Moleka, l’état de Jimmy Kitenge requiert des « soins appropriés ».

Concluant sa narration, Albert Moleka Nzoko s’est dit horrifié de lire sur un tableau que la prison de Makala, construite en 1958 pour héberger 1.500 détenus, compte à ce jour 9.158 pensionnaires. A croire le locuteur, le « Pavillon 8 réservé aux VIP serait scindé en 8A et 8B ». Selon lui, « les détenus logés au Pavillon 8A ne sont pas gérés par le directeur de Makala mais par les services de sécurité ». Après avoir fustigé les conditions d’hygiène précaires et « l’absence totale d’humanité » dans ce lieu carcéral, Moleka de tonner : « Je tiens à dénoncer la situation des droits de l’homme à Makala ».

DESENGORGER LA PRISON DE MAKALA
Pour Moleka, la situation qui prévaut à Makala lui parait inimaginable dans la mesure où le Congo-Kinshasa est dirigé « par des opposants d’hier qui ne cessaient de vouer aux gémonies ce genre de pratique en prenant des risques pour leurs vies ». La main sur le cœur, l’ex-directeur de cabinet du regretté « Tatu Etienne » soutient qu’il n’a jamais vu une telle situation en vingt-huit années d’aumônerie.

« La situation est pire que sous les présidents Mobutu Sese Seko, Laurent-Désiré Kabila et Joseph Kabila que je considérai comme un méchant ».Cette dernière affirmation a fait bondir Norbert Yamba Yamba qui a rappelé notamment le cas des personnes condamnées à 15 et 20 ans de prison dans le procès LD Kabila. « Ces personnes ont été graciées par le président Felix Tshisekedi », dira-t-il. Dans un style inimitable, Kalele Kabila a eu ces mots : « Prisonniers ou pas, les détenus sont avant tout des êtres humains qu’il faut respecter ».
Au mois d’avril dernier, la ministre de la Justice Rose Mutombo est apparue impuissante face à la problématique du surpeuplement à la Prison de Makala.

Elle s’est limitée à constater qu’il y avait à l’époque 8.889 prisonniers dont 4.271 en « détention préventive » et 2.026 condamnés. La ministre avait aussitôt « instruit » les deux procureurs généraux près les Cours d’appel de la capitale. Les deux hauts magistrats avaient reçu mission de désengorger la Prison de Makala. Depuis lors, le nombre de pensionnaires a été revu à la hausse soit 9.158. Allo! Madame la ministre Rose Mutombo…

il y’a combien des Jimy Kitenge. Donc la réforme des procédures des procès s’impose, accélérer les procès. C’est une charge non indifférente pour l’état, mais aussi l’état des droits, parceque sûrement il y’a des innocents à Makala.

Société ..,
Des ONG déplorent surpopulation carcérale et détentions irrégulières à Kinshasa.

Kinshasa : La société civile Congo mon Pays exige l’éclairage de la CENI sur les élections en 2023

En date du samedi 03 septembre 2022, l’asbl Congo mon pays a tenu une activité interpellatrice axée sur « la traçabilité du manoeuvre de la feuille de route du processus électoral » il s’agissait d’un moment d’échanges avec la presse, organisé à son siège national, situé au bâtiment de l’immeuble Libéral dans la commune de Bumbu.

Organisée dans le but de rappeler à la Commission Électorale Nationale Indépendante « CENI » le souci de la population lié au retard de la pérennisation du processus électoral, prévu en 2023.Ce, la société civile dans sa casquette de défendre le droit de l’homme, lutter notamment pour le développement intégral de la RDC par sa main d’appui aux institutions nationales entre autre la CENI.

Et face à la presse, son coordonnateur national Baby Lumingu Mulega a exposé leurs inquiétudes quant à l’organisation de ces fameuses élections. »Il ya de cela 7 mois et quelques jours non pris en compte que la CENI a rassuré qu’il y aura élections pour l’année 2023. Cependant jusqu’à l’heure actuelle, aucune suite favorable encore moins des explications justificatives de tout ce retard constaté.

Nous nous demandons ce que s’est le vrai souci que rencontre cette commission jusqu’a en être si calme et indifférente », a-t-il tonné
Par ailleurs, tout au long de cette activité, une proposition selon laquelle les chefs des villages doivent être impliqués pour l’identification de la population afin d’éviter la participation des infiltrés aux élections a été à l’organisation nationale pour l’identification de la population « ONIP ».

Rappelons que la société civile Congo mon pays est coordonnée par Baby Lumingu Mulega et cette plateforme a pour mission de défendre l’intérêt public.Pour clore, portant référence à la feuille de route du processus électoral 2021-2027 publiée et arrêtée, cette société civile lance un cri d’alarme aux autorités complétantes de la CENI de bien vouloir ouvrir l’œil et agir sur « la traçabilité du manœuvre de la feuille de route du processus électoral ».

Laetitia Kabala

Musique : Ferre Gola recouvre sa liberté

L’artiste musicien Ferre Gola qui a été emprisonné depuis le 03 juin dernier, est sorti, tôt dans la matinée du lundi 08 août 2022, de la prison en France.

Selon son avocat, il a bénéficié d’une liberté conditionnelle. « Il est présentement chez lui à la maison », a affirmé Mtre Hugues Matadi, son avocat.

Il faut le rappeler que l’artiste a été incarcéré en France le 03 juin 2022, à l’aéroport de Roissy Charles de Gaulle.

La rédaction

Page rose : Olive Lembe souffle son énième bougie d’anniversaire

La première dame honoraire de la République, Olive Lembe Kabila souffle, ce vendredi 29 juillet, son enième bougie d’anniversaire de naissance.De tels moments n’arrivent pas toujours. Et quand ça tombe à point nommé, il est de notre devoir de les immortaliser en lettre de noblesse.

Et à une personne de bienfaisance, les mots n’en manquent pas pour lui souhaiter toutes les merveilles du monde pour tout ce qu’elle entreprend en guise du bien-être de sa communauté.

Tous les regards sont braqués à Maman wa Roho comme on l’appelle affectueusement, pour lui inonder d’une pluie torrentielle de félicité dont les œuvres parlent toujours à sa place.

Au nom de toute la rédaction d’axenordsudmedia, nous souhaitons un heureux anniversaire à Maman Olive Lembe Kabila. Que cet énième bougie contribue énormément à votre santé financière, afin que vous continuez toujours à œuvrer au service de ceux-là qui en ont besoin.

La rédaction

Parquet près la cour de cassation : JM Kabund en homme libre, après sa première audition

Le nouveau challenger au Président de la République, Jean-Marc Kabund vient de regagner sa maison, en homme libre, après son audition au bureau du Procureur Général près la Cour de Cassation.

Le Président national du parti Alliance a passé la la quasi-totalité de sa journée, dans cette instance judiciaire. La prochaine étape de son instruction est annoncée pour le 2 août prochain.

Bien avant sa descente au parquet près la cour de cassation, quelques incidents ont été enregistrés au niveau du boulevard du 30 juin, entre un échantillon de ses militants qui l’escortaient et les éléments de la police.

Ce qui est de sa convocation, le nouvel opposant au régime actuel avait tenu des propos musclés à l’endroit du Chef de l’État, lors de sa sortie médiatique du 18 juillet, date à laquelle il a lancé officiellement son parti politique.

Rédaction